Napster

Bien avant Hadopi, c’est (pour notre génération) le premier logiciel « pirate » que l’on a téléchargé. Napster permettait d’échanger des fichiers MP3 uniquement, de toute façon en 1999 on ne pouvait pas télécharger grand-chose de plus à 5Ko/s max… Le concept peut paraître assez anodin aujourd’hui mais Napster a largement contribué à l’ouverture des portes du p2p.

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Sous la pression judiciaire, Napster s’arrête en 2001 pour infraction à la législation sur le droit d’auteur et devient un site de téléchargement légal de musique.

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20 Souvenirs pour Napster

  1. Jamais testé Napster, moi à l’époque je downloadé à 2ko/sec avec Kazaa !

  2. Pfff Julien, espèce de faux geek. C’est honteux.

  3. Guillaume | 19 juillet 2010 | Répondre

    Pas plus de 5 Ko/sec. ? Tu rigoles où quoi ?? Vive les T3 !!!

  4. Idem que Julie,n, moi e suis passé directement à Kazaa, Napster étant très secoué par des problèmes juridiques …

  5. Il y a bientôt 10 ans, Napster m’aura permis de découvrir le groupe qui est toujours mon artiste préféré à l’heure actuelle.

  6. Mince! Quand j’ai enfin eu le net (alleluia) je me souviens que le « ténor » était Kaz@a.
    Ensuite eMule puis ainsi de suite.
    Mais Napster j’ai pas connu :s

  7. Bourriks | 7 novembre 2010 | Répondre

    Napster, je me souviens qu’en cas de déconnexion Internet, tu pouvais recommencer ton téléchargement car le logiciel perdait ton pauvre mp3 que tu devais passer une heure entière pour espérer l’avoir comme il faut.

    Ensuite, j’étais passé à WinMX qui n’avait pas cet inconvénient.

    Kazaa est venu plus tard. C’était la sombre époque ou l’adsl n’était encore qu’un fantasme et que seuls quelques amis chanceux avaient à la maison.

    • Iseviel | 3 novembre 2012 |

      1h pour un MP3 tu en as de la chance, je me souviens qu’au début il me fallait une semaine pour avoir un MP3 à condition que je ne fasse pas grand chose sur internet en même temps et dire que maintenant les gens se plaignent parce qu’avec la fibre ils ont que 45/50 au lieu de 100, in,croyable quand même que plus les choses vont vite, plus on a l’impression qu’elles vont lentement.

  8. futureisnow | 7 novembre 2010 | Répondre

    Ah, Napster !!! le top du top à l’époque (j’avais déménagé pour avoir le cable ! 😀 )
    je me souviens encore du jour ou ils ont passés le million de chansons en ligne. à l’époque, les abruptis qui nous régissent s’en préoccupaient pas encore, et tout le monde partageait, y compris les petits groupes locaux, j’avais retrouvé des morceaux d’inconnus qui n’avaient jamais sortis de disques, y compris du groupe ou j’avais joué 20 ans avant, partagé par un anonyme !

  9. Isabelle | 8 novembre 2010 | Répondre

    Napster ! Je me souviens j’allais au boulot de mon père pour télécharger des MP3 avec Napster, il avait une connexion T4 au boulot (informaticien oblige ^^) ça allait super vite … enfin pour l’époque.

    D’ailleurs je sais même pas à quel débit ça correspond du T4, je sais juste que c’était largement plus rapide que le 56k de la maison (c’était quand même pas déjà du 4 mégas).

  10. LES précurseurs du P2P! J’ai malheureusement eu l’occase de ne le connaître que vers la fin (décembre de l’année 2000); ce qui m’a permis néanmoins de télécharger quelques titres. Mais il est vrai que ça ramait pas mal… Napster était un client de téléchargement de type centralisé, c’est-à-dire que chaque internaute cherchant un titre le recevait à partir d’un serveur central, et non à partir du serveur d’un autre internaute qui avait le titre. Et c’est là la différence avec le client e-mule! Sur les réseaux d’e-mule (dont le plus célèbre est e-donkey, ed2k pour les intimes), on reçoit chaque fichier demandé à partir directement du serveur d’un tiers internaute.
    A l’époque, un autre logiciel de téléchargement commençait à devenir populaire: Gnutella, devenu par la suite Lime Wire. Quand j’ai appris la mort de Napster, j’ai été dégoûté! A cause de ces enc… de l’industrie audio-visuelle (la MPAA et la RIAA, principaux responsables de sa disparition), le net devient petit-à-petit un réseau fliqué à mort! De toute façon, ils peuvent toujours me chercher, lol, je suis sous proxy (et je l’assume)

  11. Jamais connu Napster, moi aussi je suis venu au p2p par Kazaa.
    A vrai dire, j’ai un peu honte, mais j’ai longtemps cru que c’était un site, et pas un logiciel.

    En voyant la capture d’écran, il me fait penser à soulseek.

  12. Le top du top, c’était AudioGalaxy.

    Il n’y avait pas plus rapide et plus fourni.

  13. fruity | 24 juin 2011 | Répondre

    Audiogalaxy oui, je me demandais si quelqu’un allait en parler.
    Le top du top… niveau musique électronique en tout cas! j’y ai découvert l’happy hardcore, la makina… et la trance qui régit encore ma vie aujourd’hui!

  14. Yoge78 | 30 juin 2011 | Répondre

    Moi c’était un album de Offspring qu’un ami avait chez lui que j’ai re téléchargé (et gravé! avec le graveur de cd qui avait été mon cadeau de noël, ça vallait plus de 1000FF à l’époque!!!), ça avait pris presque une après midi entiere pour télécharger l’album.

    Et j’ajouterais qu’on se souviendra que Napster avait été médiatisé dans sa perte par le groupe Metallica qui le trainait en justice…
    Les salauds!

  15. Ah audiogalaxy c’était l’émeute ça 🙂
    Avec le satellite en icone et les remix de malades.
    Je dois toujours avoir des cd gravés via audiogalaxy de mickael jackson….avec 4/5 version diff’ de thriller etc…. j’adore.
    Naspter était extra aussi il faut l’avouer.

  16. Napster, Kazaa, emule, on se sentait pousser des ailes et se croyait de vrais hackers xD

  17. Ah yes Audiogalaxy! Je le préférais à Napster car avec Napster tu ne pouvais pas arrêter un téléchargement en cours contrairement à Audiogalaxy.

  18. Christophe | 31 juillet 2012 | Répondre

    j’ai jamais testé Napster.
    par contre le FAMEUX Kazaa qui à suivi et qui avait pas de limitation vitesse : ça on en a bouffé ^^
    Une fois les flics sur Kazaa on était passé à Emule via le réseau Edonkey, et depuis…encore ailleurs et autrement ^^

  19. Je me souviens avoir été bluffé par ce logiciel : il était léger à installer, rapide et simple à utiliser. Et c’était vraiment la foire au MP3 ! Je crois que c’est grâce à lui que je me suis fait ma première compilation perso sur CD (d’ailleurs ça me rappelle aussi que pour ma part la gravure de CD était parfois aléatoire, ça plantait souvent, je ne sais pas le nombre de CD à moitié gravés que j’ai du jetés…). A partir de ce moment là, j’ai commencé peu à peu à délaisser la médiathèque municipale…

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